Je suis nostalgique d'une vie non vécu, d'êtres non connu et de paysage non vu. Je n'ai rien vu, rien entendu, rien perçut qui pourrai me faire me souvenir de choses une fois perdu. J'ai trop perdu de personnes pour réellement m'attacher aux présentes.

"La nostalgie revient lorsque le présent n'est pas a la hauteur de l'avenir." Mon passé n'a jamais été a une quelconque hauteur, je ne peux donc pas vraiment être nostalgique.

La fin du monde serait le soleil qui se rapproche trop est qui fait exploser la planète. Mais on ne serait plus la pour en parler. Ça fera longtemps que la terre ce sera rebeller, que les tsunami, les cyclones, et aussi les animaux auront eu raison de nous. Après ça et avant la fin de notre mère Terre, il fera bon de vivre. Dans ce laps de temps, les animaux, les végétaux et tous le restent seront heureux sans nous. Et nous heureux dans notre mort.

Arrêter de penser que c'est ça ma drogue, je ne me drogue qu'a la lecture et a la musique.

Arrêter de penser que je suis comme vous, nous sommes tellement différent que ça m'en terrorise.

Arrêter de penser que par votre parole mon arrêt sera soudain, c'est pas vous qui m'aiderais de toute façon. En plus, qui vous dit que j'en veux de votre aide ?

Arrêter de vouloir m'aider, je ne suis qu'une cause perdu dans le néant qu'elle a elle même crée.

Arrêter de me donner des ordres, je commence a ne plus pouvoir le supporter.

Arrêter de croire en moi, vous croyez en une chose qui vous dépasse, que vous ne comprenez pas.

Arrêter de vous contenter des apparence, c'est pas parce que je me montre souriante, méchante, conne, égoïste que je le suis.

Arrêter de me croire, quand je parle de moi je mens très souvent.

Arrêter d'aimer un personne que vous ne connaissez pas, essayer de lire pour que je vous laisse m'aimer.

Arrêter de me croire courageuse, je suis une lâche sans borne.

Arrêter de me laissez seule, j'ai beau dire ce que je veux je déteste ça, je ne veux vraiment pas m’enfermer dans la solitude je ne la supporte pas.

Arrêter de me dire d’arrêter, forcer moi a le faire !

Fouiller mes mensonge pour y trouver la vérité.

N’écouter pas ma bouche, elle ment trop souvent.

La vérité vient seulement de mes yeux, même si je comprend pas ce qu'ils disent.

Trouver, vous, vous vous dites savant, montrez le moi, ce prétendu savoir, expliquer moi qui je suis, non, pas d'où je vient, ça je le sais, mais où je vais, ça ça me reste incertain, je suis même pas sure que je vais arriver a ne pas mourir.

Sinon, aidez moi a mourir, je vous en serais reconnaissante, si vous me dénigrais, je ne resterais pas, je partirais.

Lame

Petite lame, ma douce amie,

Arrête de me tenter, je tend pris.

Mes poignet souvent t'en veulent,

De les faire saigner, même quand ils gueulent.

Que tu vienne d'un cuter ou d'un rasoir,

Dans tout les cas,

Reste loin de moi.

Laisse moi cette lueur d’espoir,

Qui fleurie,

Lorsque tu t'enfuis.

Mon amour pour toi resteras éternel,

Même si tu t'en vas,

Je te resterais fidèle.

Ne t'inquiète pas pour sa,

Ma fidélité est comme mon désespoir

Aussi collée a moi que noir.

Vas t'en, je t'en pris,

Je ne t’oublierais pas, c'est promis.

Même si j'aime le voir, mon sang,

Il salit trop mes vêtements.

Un jour mes parents s'en rendrons compte,

Et j’aurais a en rendre, des compte.

Or je ne le veux pas,

Donc je t'en pris encore une fois,

Reste loin de moi.

Pour ma survie,

entend ma longue litanie.

Contre ma mort prématuré,

Évite de rester.

Je ne tien plus a rien,

Part, que je retrouve le bien,

Qui étais en moi avant

Avant toi et tout ce temps.

Haïr le monde mais surtout sois.
Haïr l'humanité mais surtout notre comportement.
Je vous hai a un point que vous ne pouvez imaginer mais me haïe encore plus.
Je vous hai, vous me faite me sentir differente.
Je le sais, le problème c'est moi, avec mon égoîsme, ma soif de douleur et ma méchanceté exessive.