• "Repose en paix, toi qui n'as pas connu l'amour, où que tu sois, si tu m'entends."
    Tu as malheureusement un bout de métal dans le corps, en plein cœur, reçu par un de ces pions, qui lui non plus ne savait pas ce qu'il faisait là. Qui lui non plus ne savait pas qu'il était là pour tuer ses frères, qui aurait put devenir des amis. Qui ne savait pas qu'il envoyait des gens en enfer pour au bout du compte finir sa vie dans un endroit pire que cet même enfer. Ne lui en veux pas, il paiera plus chère tous ses morts que toi. Ce n'est pas de ça faute, mais pourtant il paiera. Beaucoup plus chère que toi ou que d'autres ayant commis pire, tout simplement parce-que lui recevra un éclat de fer dans l’œil. Lui pourra rentrer chez lui, contrairement à toi, mais il ne verra plus que du noir peuplé de fantôme. Fantôme dont tu feras parti, même si tu ne seras pas au courant. Vous le enterez, nuits et jours, et il en deviendra fou. Lui connaissait l'amour, la seul chose d’ailleurs qui aurait pu le faire tenir des années, voir plus, mais la balle avait enlevé une partit de son visage et a emporté avec elle ce sentiment. Car quand on est plus séduisant, l'amour par loin. Même si avant la passion était énorme, malheureusement. Alors ne lui en veux pas, car il vivra bien pire, vraiment pire. Estime toi heureux de finir si tôt ta vie sur terre, elle n'a pas été si ingrate avec toi. Elle le sera avec lui, crois moi. A cause de cette guerre et d'idée de patrie, il t'a touché en plein cœur et finira sa vie dans le noir absolu. Et peuplé de fantôme, il ne faut pas l'oublier, sachant que c'est ce qu'il le rendra fou...
    - CONCOURS. [Bonne chance à toi.]


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  • -It's the good night.
    -For what ?
    -For kill all the humans and save forest.The good nihgt


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  • Il est là, devant moi. Je ne sais plus qui il est. Mon père ? Un inconnu dans la rue ? Ou bien un psychiatre voulant m'aider Sang?.. Dans tout les cas, il est mort. Tué par mes propres main. Pourquoi ? Pourquoi alors que je voulais tous nous réduire en cendres avec un virus ? Maintenant que j'ai fait ça, je n'aurais plus assez de temps pour pouvoir réaliser cet ultime désir. Il va falloir que je parte, ou bien que je tue le maximum de gens avec ce couteau. Non, je ne serais pas assez efficace... Il faut que je me trouve une meilleur arme, pour ça il faut donc que je fuis. Que je cour, le plus loin et le plus vite possible. Comme ça je pourrais tuer, et ressentir encor une fois cette jouissance d'avoir du sang sur les mains...


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  • Tu m'as tout volé, tout. Tout ce qui me tenais à cœur, j'ai voulu le partager avec toi, et tu me l'a volé. CONNASSE. Je te hais. Avant je te disais ça mais c'était pas vrai, maintenant je rêve de ne t'avoir jamais rencontré. Pourquoi il a fallu que tu viennes me parler ? J'avais trouvé des gens, des choses qui me tenaient à cœur. Tu me les a pris. Tu m'as tout pris. Tout le bien dans ma vie tu me l'as arraché, tu l'as piétiné puis tu me l'as rendu avec un grand sourire. Tu m'as prouvé que je n'étais capable de ne rien faire. Tu m'as prouvé que je n'était qu'un antisocial qui ne pouvais pas sortir de son monde. Même si je le veux putain. Je ne pourrais jamais atteindre mes buts. Je le sais maintenant, merci de m'avoir enlever le seul espoir qui me restait. Le seul PUTAIN d'espoir qui me faisais me lever le matin. Bas oui tu crois quoi ? Que je ne mentais pas quand je disais que rien ne me touchait ? Je te souhaite de vivre longtemps après sa mort, je te souhaite une long vie bien chiante. Sans lui. Parce que oui, il va mourir. Ne crois pas qu'il va se soigner, il va crever et toi t'auras pas le courage de te suicider. Parce que t'es qu'une putain de lâche dépressive. Continue à te détruire toi même, continue à être ma seul source de réjouissance. Pleure salope.


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  • Elle...

    Elle était là, à terre... Elle pleurait, elle pleurait à en inonder le monde entier, à remplir le monde des larmes de ses peines, de ses sanglots obscurs. Quand d'un coup, une main lui toucha l'épaule, d'un geste doux. Cette main appartenais en réalité a une vielle amie, considérée par les humains a tort comme une ennemie. Et elle elle commencer a ce calmer. Après avoir inondé l'univers de sa douleur, après cet orage qui fut cru sans fin, cette main sur son épaule fit resurgir le bonheur dans ses yeux. Et cette âme en peine suivi la belle mort, la vielle sœur de la vie, et retrouva enfin son sourire, pour l'éternité cette fois. L'orage gronda une fois, une seul fois, et ce fut un beau ciel bleu pour la fin des temps, mais ne fut vu que par cette éternel ultime délivrance.


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